En 2022, l’association a travaillé une nouvelle fois sur les enjeux de migration, dans un contexte particulier puisque l’étude de terrain a été réalisée en France.
7 bénévoles de l’association se sont rendus à Calais et à Grande-Synthe, durant sept jours, où ils et elles ont rencontré une grande diversité d’acteur.ices : des associations, des journalistes, la société civile ou encore des services publics. Cette étude de terrain avait pour ambition de mettre en valeur une crise humanitaire et politique sévissant sur le sol français depuis plus de 30 ans, dans un climat d’indifférence rendant la situation des exilé.es de plus en plus préoccupante à l’aune des élections présidentielles.
2022
En 2018, le sujet d’étude de l’association était la construction étatique au Kosovo, pays européen indépendant depuis 2008. Douze membres de l’associations sont partis, neuf jours à Pristina, à la rencontre de divers acteurs. Ils ont pu rencontrer des acteurs internationaux tels que la MINUK (mission onusienne), EULEX (mission de l’Union européenne) et le Haut-Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies mais également des ONG locales et internationales (Kosovar Young Lawyer, Democracy+, Save the Children …) ainsi que des représentants de l’État. Le but de ce voyage était de comprendre comment ce pays, surveillé de près par la communauté internationale, se construit en tant qu’État, depuis son indépendance.
2018
En 2017, l’association a travaillé sur la migration, à différentes échelles : les déplacés climatiques aux Philippines et l’arrivée des réfugiés à Marseille.
Six membres de l’équipe se sont rendus à Manille, durant sept jours, où ils ont rencontré des acteurs comme ICLEI Southeast Asia Secretariat, Center for Disaster Preparedness, Manila Observatory ou encore le maire de la commune de General Nakar. Cette étude devait montrer comment les philippins font face aux catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes à cause du réchauffement climatique.
Le projet « Parcours d’un migrant » avait pour but de retracer le chemin d’un réfugié à son arrivée en France et plus particulièrement à Marseille.
2017
En 2016, outre l’organisation d’une conférence de Juan Branco sur la Cour Pénale Internationale, le sujet d’étude de l'association était la crise migratoire au Liban. Onze des dix-huit membres de l’association sont partis à Beyrouth pendant quatre jours afin de rencontrer notamment le Haut-Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies au Liban, des associations et ONG tant locales qu’internationales (Acted Liban, DPNA, Caritas Liban…), ainsi que Sawssan Abou-Zahr, journaliste libanaise spécialiste des printemps arabes et des démocraties émergentes, des causes féministes et des droits de l’Homme.
2016
2015
En 2015, l’association a travaillé sur la transition démocratique, avec un projet intitulé “la société tunisienne post-révolution”. Neuf étudiants sont ainsi partis sur le terrain, à la rencontre de diverses organisations telles que le Réseau d’Observation de la Justice Tunisienne en Transition, l’Organisation Mondiale contre la Torture Tunisie, le Haut Commissariat aux Réfugiés Tunisie, l’association Terre d’Asile en Tunisie et le Centre Kawakibi pour la transition démocratique en Tunisie.
Chaque séjour se poursuit en France avec un retour d’expérience, comprenant une exposition photo, des conférences ou des ateliers sur le sujet étudié.